Homefront : The Revolution (PS4) // Le DLC « Aftermath »

2020

Terminé en normal en activant la visée assistée et le marqueur de tir réussi.

Quelle bonne surprise ! C’est la suite du jeu d’origine ! On incarne toujours Ethan Brady sauf que cette fois… Il parle ! Incroyable. Jack Parrish lui dit même « je préférais quand t’étais moins bavard » !! Énorme.

J’ai bien aimé l’introduction qui nous fait découvrir ce nouveau Brady qui parle, Jack Parrish en fauteuil roulant et notre Résistance après la fin du jeu original. Le ton est bien plus léger qu’avant : notre héros est positif, il croit en Walker et refuse l’ordre de Parrish de l’assassiner.

Mais c’est tout ce que j’ai aimé dans ce DLC. L’enjeu était bien : sauver Walker, sauf que les développeurs n’ont rien fait de très inspiré avec. On va le chercher dans une tour de télécommunications, là où il enregistre ses messages anti-Résistance, il n’y est pas, on continue la recherche et on le retrouve emprisonné, avec comme explication à sa « trahison » le fait qu’on l’ait menacé de tuer des personnes devant lui jusqu’à ce qu’il fasse le job… Mouais, la raison numéro un à laquelle on pouvait s’attendre en fait. Très dommage.

L’action est médiocre, avec des intérieurs industriels déjà vus, des salles où le rush est encouragé car trop laborieuses à planifier vu le nombre d’ennemis et la complexité visuelle de l’architecture (le passage du garage m’a vraiment gonflé, j’ai fini par le réussir en « rush discret » ; la fuite de la tour d’émission, j’ai carrément couru pour éviter les ennemis…). Pas de fusillade marquante, la bataille finale est laborieuse elle aussi car trop difficile avec des ennemis qui arrivent de partout et qui nous contournent pas le flanc armés de fusils à pompe.

Walker n’apporte rien, il n’y a pas d’épilogue… Bof.

Verdict = dispensable

Ajouter un commentaire

Le code HTML est affiché comme du texte et les adresses web sont automatiquement transformées.

Fil des commentaires de ce billet